Rien ne saurait combler ce vide qui me punit,
Où es-tu, toi la mosaïque de ma vie ?
Bien loin de toi ma fleur s’est refermée,
Essoufflée de ton absence et de désirs.
Rien ne saurait te remplacer, tu occupes mes pensées.
Reviens moi ! toi que je jalouse au loin;
Oublie moi pour m’aimer plus fort,
Blottie au creux de tes bras, je te pardonnerais d’amour.