Si je pouvais te réconforter de tes larmes
si je pouvais te libérer de tes armes
Mon coeur n’en serait que comblé.
Si je pouvais t’aimer sans refus
Et si le soir je pouvais t’enlacer de bonheur
D’une joie intense mes lèvres bruleraient de ferveur.
Pourtant, tout semble s’effacer dans la brume de tes oublis
Tout semble se disperser aux échos de ta douleur
Tout semble désert et sécheresse
Car il pleut sur le sable moelleux de ta vie