20 mai 2012
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Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière,
Dans de cruelles circonstances,
Je n’ai ni gémi ni pleuré,
Meurtri par cette existence,
Je suis debout bien que blessé,
En ce lieu de colère et de pleurs,
Se profile l’ombre de la mort,
Et je ne sais ce que me réserve le sort,
Mais je suis et je resterai sans peur,
Aussi étroit soit le chemin,
Nombreux les châtiments infâmes,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.
20 mai 2012
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Lorsque les choses iront mal
Et que ton chemin te semblera infernal.
Lorsque tes épargnes diminueront,
Et que tes dettes augmenteront.
Lorsque tu voudras esquisser un sourire,
Mais n’auras que la force de pousser un soupire.
Lorsque la guigne s’acharnera.
Repose-toi s’il le faut,
Mais n’abandonne surtout pas.
Chacun découvre un jour,
Que la vie est étrange
Et qu'il y a de nombreux détours.
Plus d’un se trouve désarmé face à l’échec
Alors qu’il aurait pu vaincre s’il avait tenu tête.
N‘abandonne pas, même si le temps semble long.
Tu peux t’en sortir, tiens bon.
Le succès est l’envers de l’échec,
Et les nuages si gros soient-ils,
Cachent toujours un soleil qui brille.
Quelque fois la solution,
Semble loin alors qu’elle est toute proche.
Donc tiens-toi droit,
Même si ton coeur est blessé.
Car c’est lorsque tout va mal
Qu’il ne faut surtout pas abandonner
20 mai 2012
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Prenez la route du départ,
Et longez celle de l'espoir.
Vous arriverez à,
L'allée de la générosité
Qui sera celle de le fraternité.
Laissez vous guider par votre cœur.
Ne doutez pas et foncez
Vous y arriverez
20 mai 2012
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Il est des temps où nous sommes tous aveugles,
Avides et innocents de la vie,
C’est comme une renaissance, c’est la découverte du monde.
Silence,
C’est le silence autour de moi, et quelque chose bat, frappe,
Ce n’est pas anodin, ce n’est pas insolent,
C’est juste…
C’est juste, un coeur qui bat,
Une vie qui combat, loin des fracas meurtrier de la vie.
20 mai 2012
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C’est avec un coeur vide,
Que je t’écris ces mots,
Et que je confesse mon fardeau
A ce messager muet
Qui saura te faire pleurer.
J’ai ouvert le tiroir de ma vie
Et curieusement
Il ne manquait que toi,
Tes caresses,
Tes baisers,
Tes mots…
Je ne sais même plus,
Si la grotte de ton coeur a gardé mon odeur,
Tu es parti si vite,
Sans un mot, sans un bruit,
Dans le calme de la nuit
Te réfugier dans les bras de celui
Qui aujourd’hui me maudit.
Je voudrais assomer mes pensées,
Ignorer que tu n’es pas restée,
Tout cela serait si facile,
Si tu avais voulu me prendre dans tes bras,
Une dernière fois.
Mes larmes ont noyées mes armes,
Pour que jamais je ne périsse,
Car même si tu n’es plus là,
Quelque part j’ai gardé un peu de toi.
Ne me juge pas,
Ne m’oublie pas,
Je suis devenu coupable de t’avoir perdu,
Innocent de t’avoir aimé
Et condamné pour t’avoir abandonnée.
La justice du coeur
Est ma seule consolation
Devant tant de larmes versées.
Je garderais toujours les yeux rivés sur toi pour ne pas chavirer,
Et combattrais mes tempêtes en fusillant les murs de l’encre de ma peine.
20 mai 2012
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22:45
Ma peine est plus large que tes mots,
Plus lâche que tes maux,
Pourtant je n’ai pas de peine.
La vie est plus vache que tes maux,
Plus sage que tes mots,
Même si parfois je fond en sanglots.
Mes mains sont plus sales que tes mots,
Plus fortes que tes maux,
Mais jamais ne connaissent le repos.
Mon coeur est plus grand que tes maux,
Plus saint que tes mots,
Et sans regrets je le nourrit de ragots.
Je veux croire,
Je veux voir,
Savoir et m’émouvoir,
Car je ne veux que tes mots,
Pour comprendre nos maux.
20 mai 2012
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J’aurais voulu…
Si un jour je devais te dire merci,
il n’y a que ces mots que je déposerais sur tes joues.
Si un jour je devais te dire je t’aime,
Ce n’est qu’avec ces mots que je baiserais tes lèvres.
Si un jour je devais te quitter,
Ce seraient les seuls mots dont je voudrais que tu te souviennes.
J’aurais voulu naître dans tes bras,
Pour connaître la tendresse.
J’aurais voulu grandir dans ton coeur,
Pour être la seule à aimer
J’aurais voulu vivre dans tes yeux
Pour être ta préférée
J’aurais voulu dormir sur tes lèvres
Pour l’abondance de tes caresses
Et j’aurais voulu être le souvenir
De tes mains pour être la plus précieuse
Me donner avec tendresse et amour.
J’aurais aussi voulu mourir
Sur ton corps pour rester fidèle
A ce que nous avons partagé.
20 mai 2012
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22:40
Si je pouvais te réconforter de tes larmes
si je pouvais te libérer de tes armes
Mon coeur n’en serait que comblé.
Si je pouvais t’aimer sans refus
Et si le soir je pouvais t’enlacer de bonheur
D’une joie intense mes lèvres bruleraient de ferveur.
Pourtant, tout semble s’effacer dans la brume de tes oublis
Tout semble se disperser aux échos de ta douleur
Tout semble désert et sécheresse
Car il pleut sur le sable moelleux de ta vie
20 mai 2012
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Je voudrais ne plus aimer
Je voudrais ne plus pleurer
Je voudrais oublier
Je voudrais y remédier
Mais d’une vie de contrainte
Je ne peux me libérer
Partir ou mourir ?
Par quel chemin y parvenir
20 mai 2012
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Je suis le bleu du ciel,
et l'ocre de la terre.
Le vent de la forêt,
Et le rouge du pavot.
La blancheur de la plume,
Et le noir du mystère.
Je vibre dans le jaune,
Habillant l'abricot.
Sanglote dans le gris,
Des plus funestes orages.
Je ruisselle dans l'or,
De l'âme du soleil.
Je suis dans les reflets,
Du plus petit rivage.
Je suis dans le mauve du lilas,
Et le rose est pour moi sans pareil.
Dans la fleur éternelle,
Et des feux du flamant,
Je suis tous les reflets,
Argentés de la lune.
Je suis au coeur de la moindre étoile,
Je suis au bord du firmament.
J'éclate en mille sons,
Ou chante la tendresse.
Vibrato de bonheur,
Je comble chaque ruisseau.
Et je danse toujours,
Dans le feu qui se dresse.
Je suis clair,
Je suis sombre,
A tout instant du jour et de la nuit.
Mes couleurs sont partout,
Dans l'ombre ou la lumière.
Mes chagrins,
Ma colère et surtout mon amour
Se déversent dans le temps et l'espace.
Je suis le cri du vent,
Sa chanson coutumière.
L'arôme de la mousse,
Et le goût des embruns.
Je transperce la nuit,
De mes clartés sans nombre.
Je donne leur nuance,
Aux plus simples des parfums.
Et je chante pour toi,
Lorsque ton coeur est sombre.
Regarde - moi ....
Sens moi.....
Toi, qui dans tes hivers
recherche une lueur et la force de vivre;
Car je suis toujours là,
Je me nomme " UNIVERS "
Et je m'offre en ami pour tout ce que je livre.